La Fondation de l’UQO (FUQO) a un nouveau directeur général qui compte plusieurs années d’expérience dans le domaine du financement public et privé. Jacques Giroux prend la relève de Jean-Christophe Régnier qui assurait l’intérim à la direction générale de la FUQO depuis six mois.Natif de Montréal, M. Giroux œuvre depuis 25 ans dans le domaine du financement. Au cours de sa carrière, il a collaboré à des campagnes de financement totalisant plus de 100 millions $. Son domaine d’intérêt est la direction de campagnes de financement, la planification et le conseil stratégique auprès de divers organismes caritatifs.
Il voit son arrivée à l’UQO comme un beau défi alors que les préparatifs pour la prochaine campagne de financement seront mis en branle sous peu. « Je suis très heureux de joindre les rangs d’une équipe aussi dynamique que celle de la Fondation de l’UQO. Les prochains défis sont emballants et je suis convaincu que nous saurons les relever avec succès. »
Jacques Giroux a étudié à l’Université de Montréal en économie et sciences politiques. Il a notamment travaillé à Centraide Montréal. Il a ensuite œuvré au sein de deux firmes nationales spécialisées en collecte de fonds, pour ensuite créer son propre cabinet-conseil au début des années 2000.
Il a aussi travaillé à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) où une campagne de 8 millions $ a dépassé l’objectif pour atteindre 8,4 millions $. Un fonds de dotation a ainsi été créé à l’UQAC. Il a adoré son expérience et il voit certains parallèles entre l’UQAC et l’UQO.
Pour la prochaine campagne de la FUQO, monsieur Giroux affirme qu’il s’agit d’un double mandat. Il y aura sollicitation à l’interne et auprès les leaders du milieu. Il veut également tisser des liens avec les leaders de la communauté de Saint-Jérôme, une région qu’il connaît bien.
Le défi pour toute fondation universitaire est aussi de retracer les diplômé(e)s de l’UQO, pas juste en Outaouais mais également dans la région de Montréal. Bien d’autres universités sont à Montréal, où elles comptent sur leurs anciens-anciennes qui y habitent. L’UQO se doit d’y être aussi. « On peut y mettre un peu d’énergie parce qu’on risque d’avoir des surprises agréables. Il y a fort probablement un certain nombre d’anciens de l’UQO dans la région de Montréal. »
L’UQO souhaite la bienvenue à monsieur Giroux.
La Fondation de l’UQO a innové cette année en s’associant aux campagnes Centraide Outaouais et Centraide Laurentides. Les dons recueillis ont été distribués à Centraide et à la Fondation selon le choix des donateurs et donatrices. La campagne 2015 a permis d’amasser plus de 20 000 $ et ainsi surpasser l’objectif de 17 000 $.
Il voit son arrivée à l’UQO comme un beau défi alors que les préparatifs pour la prochaine campagne de financement seront mis en branle sous peu. « Je suis très heureux de joindre les rangs d’une équipe aussi dynamique que celle de la Fondation de l’UQO. Les prochains défis sont emballants et je suis convaincu que nous saurons les relever avec succès. »
Jacques Giroux a étudié à l’Université de Montréal en économie et sciences politiques. Il a notamment travaillé à Centraide Montréal. Il a ensuite œuvré au sein de deux firmes nationales spécialisées en collecte de fonds, pour ensuite créer son propre cabinet-conseil au début des années 2000.
Il a aussi travaillé à l’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) où une campagne de 8 millions $ a dépassé l’objectif pour atteindre 8,4 millions $. Un fonds de dotation a ainsi été créé à l’UQAC. Il a adoré son expérience et il voit certains parallèles entre l’UQAC et l’UQO.
Pour la prochaine campagne de la FUQO, monsieur Giroux affirme qu’il s’agit d’un double mandat. Il y aura sollicitation à l’interne et auprès les leaders du milieu. Il veut également tisser des liens avec les leaders de la communauté de Saint-Jérôme, une région qu’il connaît bien.
Le défi pour toute fondation universitaire est aussi de retracer les diplômé(e)s de l’UQO, pas juste en Outaouais mais également dans la région de Montréal. Bien d’autres universités sont à Montréal, où elles comptent sur leurs anciens-anciennes qui y habitent. L’UQO se doit d’y être aussi. « On peut y mettre un peu d’énergie parce qu’on risque d’avoir des surprises agréables. Il y a fort probablement un certain nombre d’anciens de l’UQO dans la région de Montréal. »
L’UQO souhaite la bienvenue à monsieur Giroux.
La Fondation de l’UQO a innové cette année en s’associant aux campagnes Centraide Outaouais et Centraide Laurentides. Les dons recueillis ont été distribués à Centraide et à la Fondation selon le choix des donateurs et donatrices. La campagne 2015 a permis d’amasser plus de 20 000 $ et ainsi surpasser l’objectif de 17 000 $.